Sécurité

Dans un rapport publié le 22 février, la start-up cyber française CybelAngel dévoile des exemples de trafic de données hospitalières…

La nouvelle base de données a d’ailleurs été baptisée COMB, pour « Compilation of many Breaches ». « C’est assez courant dans le milieu. Sur des forums spécialisés, des hackers publient des messages pour affirmer qu’ils sont en possession d’un certain nombre d’identifiants. Mais en réalité il s’agit souvent d’imposteurs, de gens qui cherchent à se faire de l’argent en revendant d’anciennes fuites regroupées et maquillées pour donner l’impression qu’elles sont neuves », poursuit ce chercheur. Une partie de ces données ont par ailleurs de grandes chances d’être obsolètes puisque les utilisateurs, souvent prévenus par les plateformes au moment de la fuite, ont eu tout le temps de modifier leur mot de passe.

« Le Conseil des ministres est la réunion la plus solennelle de notre République. C’est également une réunion secrète. Donc, il fallait imaginer un dispositif qui puisse permettre de tenir cette rencontre, au plus haut sommet de l’Etat, avec toute la sécurité requise. On pouvait aller sur des outils dont la propriété est au niveau des entreprises Américaines, Chinoises ou d’autres, mais nous avons pris l’option d’avoir des outils in house », a-t-il déclaré. Selon lui, le premier aspect lié à la sécurité du Conseil des ministres était de ne pas le faire passer sur internet.

Un VPN (ou Virtual Private Network), derrière cet acronyme traduit en français par “réseau privé virtuel”, se cache une solution rapide et facile d’utilisation pour protéger votre connexion internet et votre vie privée en ligne. Cet outil de cybersécurité agit comme un tunnel chiffré et crypté qui contient vos données générées lors d’une connexion à internet.