L’édition 2021 du Black Friday aura lieu le 26 novembre prochain. L’occasion de réaliser de bonnes affaires, mais également une période pendant laquelle les arnaques peuvent se multiplier.
Chaque année, le Black Friday permet à de nombreux consommateurs de réaliser de bonnes opérations commerciales, à quelques semaines des fêtes de fin d’année. En 2021, ce fameux « vendredi noir » se tiendra le 26 novembre prochain. Toutefois, nombreux sont les annonceurs qui n’attendent pas la dernière heure pour proposer aux consommateurs de bonnes affaires, en boutique ou sur Internet. Mais depuis plusieurs années, les arnaques se multiplient également à l’approche de cet événement commercial, rappelle l’UFC-Que Choisir, jeudi 18 novembre.
Et c’est en ligne notamment qu’ont tendance à fleurir les propositions douteuses, en reprenant les codes du Black Friday aussi bien dans des e-mails, que sur les réseaux sociaux ou bien même dans des publicités. De faux sites internet sont même montés, dont il faut se méfier. Ils listent de nombreuses promotions avantageuses, en imitant de célèbres enseignes notamment. Mais attention, car ces faux sites ne livrent finalement jamais le produit commandé, et l’argent dépensé ne sera jamais remboursé à l’acheteur.
Outre les arnaques ciblant des achats, d’autres escroqueries peuvent s’avérer plus vicieuses et viser à dérober les données personnelles de futures victimes, rappelle l’organisme de défense des consommateurs. SMS, e-mails, sites Internet… prétextant une promotion exceptionnelle ou un cadeau, un colis à recevoir dans le cadre du Black Friday, ces arnaques visent à amener l’internaute à fournir son nom, son adresse ou encore ses coordonnées bancaires. Et ce, avec tous les risques et conséquences habituels associés à ces opérations de phishing, tels une usurpation d’identité, ou des achats invisibles.
Face à ces risques, à l’occasion du Black Friday, l’UFC-Que Choisir recommande la plus grande vigilance. L’organisme conseille notamment de bien prêter attention à l’URL des sites proposant des offres alléchantes, car parfois, une seule lettre peut faire la différence.
Ambre Deharo, Capital