samedi, novembre 23, 2024

CoinAfrique, passe la barre des 1,4 millions de téléchargements

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Une révolution dans le secteur des petites annonces en Afrique francophone, en seulement trois années d’existence, la Startup qui a basé son siège au Sénégal compte plus de 1,4 millions de téléchargements de son application (Android et IOS), avec un volume de visites mensuelles qui dépasse le million, dans l’ensemble des pays où elle est opérationnelle.

Dakar, le 18 Juin 2019. En prenant le pari de lancer une plateforme de mise en relation entre acheteurs et vendeurs, particuliers ou professionnels, Matthias Papet et Eric Genêtre étaient certainement loin de se douter de la trajectoire prise en si peu de temps par CoinAfrique, qui en l’espace de trois ans s’est positionné comme le leader des petites annonces en Afrique francophone. Une réussite, sans précédent, qui n’est point le fruit du hasard, car en se positionnant sur ce marché, les initiateurs ont vite identifié le potentiel énorme que représentent ses 280 millions d’individus.

Un business model et une stratégie d’implantation bien maîtrisés

La réussite de CoinAfrique, réside dans le fait que ce projet prend en compte les réelles problématiques auxquelles les Africains sont confrontés, lorsqu’il s’agit de vendre ou acheter en ligne. Le service propose une réelle proximité entre vendeurs et acheteurs, avec la possibilité pour les deux parties de rentrer en contact et discuter directement. « Nous sommes partis du constat selon lequel : la vente d’articles par des particuliers est monnaie courante sur le continent, nous avons donc réfléchi à mettre en place des outils (site et applications) qui rapprocheraient cette forte communauté dans bon nombre de pays. Cet espace permet également à des professionnels de la vente de rencontrer une cible qui est de plus en plus tournée vers le numérique », explique Matthias Papet, à l’initiative du projet.

Aujourd’hui les utilisateurs de cette plateforme constituent la plus importante communauté de vendeurs et acheteurs en ligne en Afrique Francophone dans le secteur des petites annonces, et couvre des secteurs variés comme : la vente d’articles de mode, de véhicules, de mobilier, d’électroménager et d’autres articles divers pour la maison, mais aussi des services comme les offres et recherches d’emplois, les loisirs ou encore l’immobilier.

Avec une activité en croissance mensuelle de plus de 10%, le nombre de visites sur le site pourrait doubler d’ici la fin de l’année, avec une augmentation importante du nombre de vendeurs dans les 5 pays où elle est opérationnelle.

« Notre objectif est d’atteindre 10 millions d’utilisateurs d’ici à 2022, et grâce à la confiance de nos utilisateurs nous sommes très optimistes. Le potentiel est énorme. Ces trois premières années nous ont permis d’ouvrir notre service et asseoir notre présence sur l’ensemble de la zone que nous couvrons, particulièrement sur les 5 pays dans lesquels nous sommes opérationnels. Nous allons passer à la deuxième phase avec comme optique de recruter toujours plus de vendeurs et d’annonces sur notre plateforme, ainsi que l’ouverture d’autres pays dans l’espace francophone afin de permettre au plus grand nombre d’Africains de bénéficier de nos services. », explique Martin Hieaux, Directeur des Opérations.

Un secteur en pleine croissance

Avec la disparition de certains journaux de petites annonces imprimés, les sites en ligne et autres applications se positionnent de plus en plus comme une alternative sérieuse pour les particuliers et les professionnels. « CoinAfrique a opté pour un service accessible à tous. Nous avons étudié le comportement des vendeurs, des acheteurs, nous travaillons donc continuellement à satisfaire l’ensemble des acteurs présents sur la plateforme. Nous avons de plus en plus de sollicitation de professionnels de la vente, ensemble nous travaillons à solidifier cette collaboration. Nous sommes une jeune entreprise, et toutes les collaborations qui nous permettent de nous développer davantage et d’apporter un meilleur service aux populations sont les bienvenues, il en est de même pour les investisseurs », conclut Matthias Papet.