Le jeu mobile Aurion KGF, du studio de jeux vidéo camerounais KIRO’O GAMES, réalise une croissance de 150% de revenu moyen par client et une croissance de revenu global de 57,62%, après sa dernière mise à jour. Après avoir rééquilibré le jeu et ses tarifs,
sur le marché camerounais :
- D’une fourchette de [100 FCFA -500 FCFA] à une nouvelle fourchette de [250 FCFA – 10 000 FCFA] sur le marché camerounais
sur le marché mondial :
- D’une fourchette de [0.99USD à 4.99USD] à une nouvelle fourchette allant de [1.99USD à 49.99 USD]
Le studio peut désormais gagner beaucoup plus par paiement, passant ainsi en moyenne de 250 FCFA de revenu par transaction à 625 FCFA.
Le jeu vidéo étant encore dans sa phase pionnière en Afrique, il existe déjà tout de même des joueurs premiums africains :
« Un de nos joueurs a réalisé un paiement de 10 000 FCFA dans le jeu. Si on parvient à bien scaler sur toute l’Afrique francophone, il est possible qu’on trouve 10.000 autres africains qui dépensent cette somme régulièrement dans nos jeux. », confie Olivier Madiba, le Founder et CEO.
La prochaine étape consiste donc à monétiser au Sénégal et en Côte d’Ivoire, deux pays dans lesquels la startup a une forte activité de joueurs, et où les tests de paiement sur une version alpha ont été un franc succès.
Kiroo Games rappelle que son capital est actuellement ouvert.
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A propos de KIRO’O GAMES: Basé à Yaoundé, c’est le premier studio de jeux vidéo au Cameroun. Le studio se positionne aujourd’hui en Afrique comme une IP-Focus Company grâce à son catalogue cross média. Le studio a été élu meilleur studio d’Afrique en 2021 par les “Games Industry Africa Awards”, et a également reçu de nombreux prix pour son jeu mobile Aurion Kajuta Gems Fighter.
Ainsi, à côté des jeu PC, jeux mobiles, BD, Dessins animés, la startup est en train de bâtir un Héritage et un symbole pour la prochaine génération d’africains : Quand la politique, la finance, le cynisme du monde découragent les jeunes africains, Kiro’o souhaite que les jeunes puissent regarder ce qu’ils ont bâti et se dire qu’avec du travail, de l’altruisme, eux aussi peuvent réaliser l’impossible et réussir.