dimanche, décembre 22, 2024

Wave dément la fermeture de ses filiales au Mali, Burkina et en Ouganda

0 commentaire

Wave a formellement démenti ce mardi 05 juillet, l’information selon laquelle, ses filiales basées au Mali, Burkina et en Ouganda ont fermé boutique pour raison économique.

Dans un communiqué parvenu à Socialnetlink, la Fintech dément  l’information diffusée dans la presse en ligne et sur les réseaux sociaux annonçant la fermeture des sociétés Wave au Mali, au Burkina Faso et en Ouganda.
En effet, depuis hier, un communiqué signé par «Wave Mali» faisant état d’un licenciement  du personnel pour raison économique a fait le tour des réseaux.

«Afin de garantir un fonctionnement optimal de nos services et pour rester agile dans ces trois pays, nous avons dû prendre la décision particulièrement difficile de réduire nos effectifs, ce qui ne correspond aucunement à une fermeture de nos filiales tel que relaté dans la presse en ligne. Nous réitérons notre engagement à continuer de servir les 10 millions d’utilisateurs actifs qui nous font confiance au Mali, au Burkina Faso, en Ouganda, en Côte d’Ivoire et au Sénégal» informe le communiqué.

La Fintech a également réaffirmé sa volonté à continuer de servir les 10 millions d’utilisateurs actifs qui leur font confiance au Mali, au Burkina Faso, en Ouganda, en Côte d’Ivoire et au Sénégal.

C’est dans cette perspective qu’elle  tient à rassurer ses clients, ses partenaires et l’ensemble des populations qu’il est plus que jamais déterminé à rester dans les trois pays cités à long terme afin de continuer à œuvrer pour l’inclusion financière.
Wave de rappeler que les retraits et paiements sont toujours gratuits et les transferts à 1% tout en rappelant les médias et les populations à «la plus grande vigilance et à ne se référer qu’aux communications officielles et vérifiées du groupe Wave Mobile Money.»

Le groupe n’exclut pas par ailleurs,  «le droit d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre des auteurs et complices des actes et des messages de nature à porter atteinte à notre image, notre réputation commerciale sur nos différents marchés et à notre crédibilité» informe le communiqué.