L’océan représente 71% de la terre. Son écosystème est vaste, en évolution et en croissance rapide. Plus important encore, les poissons, la plus grande espèce (20 000 espèces), sont désormais devenus un point focal pour l’homme car ils sont menacés par leurs actions qui vont à l’encontre du bien-être de Mère Nature.
Par conséquent, pour éviter une catastrophe imminente, le monde doit penser à un moyen de préserver à la fois l’utérus et ses matrices lorsqu’il parle de l’océan. Nous devons suivre l’évolution des espèces sous-marines et écarter les menaces qui peuvent leur être adressées. En termes de fourniture d’une solution durable et efficace, DAUST a travaillé aux côtés des agents de l’AMD (Aire Marine Protégée) dans l’utilisation de la détection d’objets sur les espèces sous-marines.
Ce procédé innovant est un simple transfert d’une pratique existante de pêche et d’estimation du nombre de poissons de différentes espèces cibles que les agents de DMLA faisaient. Désormais, avec la puissance des drones sous-marins, les ROV (Remotely Operated Vehicle), on peut automatiser ce processus sur eux qui doivent regrouper dans une zone le nombre de poissons de différentes espèces et les classer.
Le projet Inventaire et classification des espèces sous-marines est tout d’abord une proposition de solution aux agents locaux œuvrant pour la préservation de l’environnement à Somone, petite ville du Sénégal, puis une expérience de tissage de multiples technologies au service de l’innovation et l’ingénierie tel que promu par DAUST.