Le Sommet africain de l’Internet prévu en avril-mai 2018 à Dakar

Le Sénégal accueillera, du 29 avril au 11 mai 2018, le Sommet africain de l’Internet (Ais). Organisée par le ministère de la Communication, des Télécommunications, des Postes et de l’Economie numérique en collaboration avec le Registre africain de réseaux (Afnog), cette rencontre internationale va accueillir toute la communauté africaine de coordination et de gouvernance d’Internet.

Pour Chérif Diallo, directeur des Technologies de l’information et de la communication, ce sommet permettra d’arriver à un fort niveau de renforcement des capacités des ingénieurs et techniciens africains de l’administration et du privé. Aussi, a-t-il informé, au cours de la réunion du comité d’organisation, la rencontre de Dakar sera un important moment de discussions, d’échanges et de validation des politiques sur les problématiques de gouvernance de l’Internet liée à la spécificité africaine. La rencontre regroupera quelque 600 participants venant de différents pays. Au Sénégal, plus d’une centaine de participants sont attendus à ce sommet où des sessions de sensibilisation sur la cybercriminalité sont également prévues.

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Le Sommet africain de l’Internet est un événement phare qui regroupe les organisations s’occupant de la gouvernance et de la coordination de l’Internet. Il se veut une plateforme internationale privilégiée de promotion des produits et services des Tic en Afrique.

Source : Lesoleil.sn

Une réflexion sur « Le Sommet africain de l’Internet prévu en avril-mai 2018 à Dakar »
  1. […] L’AIS (Sommet Africain de l’Internet) est une conférence régionale sur l’Internet et ses développements. C’est l’événement phare qui regroupe les organisations s’occupant de la coordination de l’Internet, aussi connues comme les Af *, telles que AFRINIC, AfTLD, AfNOG, etc. Les opérateurs satellites, télécoms et GSM ainsi que les gouvernements et les régulateurs sont présents. Sont aussi présents les acteurs travaillant sur les réseaux éducation et recherche, les IXPs, les linguistes pour la partie langues africaines et développement de contenus, les registrars et les acteurs des noms de domaines génériques, les contributeurs internationaux tels ICANN, ISOC, les RIRs et les IXPs et bien d’autres. […]

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