dimanche, décembre 22, 2024

E-Learning : Un sénégalais de la diaspora invente une plateforme révolutionnaire

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Son nom est Boubacar Diawara,un Sénégalais vivant en France. Il a inventé une plateforme qui va révolutionner le marché du E-Learning, en contournant les difficultés rencontrées dans les formes classiques d’apprentissage de langues.

Son invention  s’appelle  « Language-swap« , une plateforme qui  propose « une solution globale et digitale » basée sur des stages pratiques de langues avec des natifs et des utilisateurs ayant un très bon niveau dans une langue et désireux de partager leurs propres compétences linguistiques, en échange d’un apport tout aussi enrichissant dans une autre langue,

Dans un entretien exclusif avec le site de l’Agence de Presse Sénégalaise, le jeune natif de la région de Casamance explique que son projet «  est un concept innovant et efficace pour pratiquer une langue, basé sur le E-Learning participatif et collaboratif, qui est fondé sur la mise en relation d’apprenants aux profils complémentaires et assure un accès libre sans contrainte de temps, de lieux ou de rythme à une formation souple et modulée basée à 100% sur la pratique »

Il soutient vouloir développer au sein de cette plateforme, « la toute première start-up parisienne ».

« Cette méthode permet à chaque utilisateur d’étoffer ses réseaux personnels en se faisant des amis ou des contacts professionnels partout en Europe et à travers le monde. Language-swap révolutionne à 360° le marché du E-Learning par une méthode simple et puissante comme le Linkedin et la Bla Bla Car du E-Learning« , a souligné M. Diawara.

D’après lui, « si les correspondants sont des francophones et des anglophones, ils pourront discuter pendant trente minutes en anglais sur un thème de la finance et trente autres minutes sur le même thème en français ».

« Désormais, les économies d’échelle commencent à partir de 50% avec le partage des frais de cours. Chaque élève peut réaliser jusqu’à 50% d’économie en suivant des cours de langues avec deux, trois voire quatre personnes et en partager les frais », a a expliqué Boubacar Diawara.