Le groupe CDC, l’institution britannique de financement du développement et investisseur d’impact, a engagé 15 millions de dollars dans le fonds TIDE Africa de TLcom pour soutenir les startups à forte croissance en Afrique subsaharienne.
Avec une présence dans les principaux pôles financiers de Lagos et de Nairobi, TLcom cible les entreprises technologiques pour relever les défis des entreprises et des consommateurs africains dans des secteurs clés de l’économie tels que l’éducation, l’agriculture, les transports et la logistique, les soins de santé et les services financiers.
TLcom investira entre 500 000 dollars et jusqu’à 10 millions de dollars par entreprise, permettant aux entreprises à forte croissance d’échelonner et d’attirer des financements d’investisseurs mondiaux en Capital ventures, de sociétés régionales d’EP et de partenaires stratégiques.
L’investissement du CDC soutiendra les objectifs de développement durable des Nations Unies, en particulier les objectifs 8, 10 et 9.
Selon Nick O’Donohoe, PDG de CDC, « l’investissement dans TLcom nous offre une opportunité passionnante de soutenir les entreprises en phase de démarrage à un stade critique de leur croissance et d’approfondir l’écosystème entrepreneurial en Afrique.»
Maurizio Caio, fondateur et associé directeur de TLcom, n’a pas caché sa fierté « de travailler avec un partenaire stratégique comme CDC, qui reconnaît le potentiel entrepreneurial de l’Afrique subsaharienne et s’engage à tirer parti de la technologie pour obtenir un impact durable et générer de la valeur sur le continent. »
TLcom a soutenu certaines des entreprises africaines en phase de démarrage les plus importantes, notamment Kobo360, Andela et Twiga Foods, qui ont collectivement collecté 250 millions de dollars à ce jour, leur créant des opportunités économiques à grande échelle grâce à un meilleur accès au marché dans les secteurs de la logistique, de l’ingénierie logicielle et de l’agro-industrie. Kobo 360 fournit des revenus supplémentaires à plus de 10 000 conducteurs, Twiga à plus de 17 000 agriculteurs et Andela à 68 000 développeurs de logiciels qualifiés.