Ce mercredi 3 mai marque la journée mondiale de la liberté de la presse. Dans les pays où cette liberté est entravée, les réseaux sociaux sont privilégiés, avec les risques d’abus qu’ils comportent.
C’est ce 3 mai qu’on célèbre la journée mondiale de la liberté de la presse. Dans son classement mondial de 2017 sur la liberté de la presse, publié le 26 avril dernier, l’organisation Reporters Sans Frontières a estimé que la liberté de la presse « n’a jamais été aussi menacée dans le monde ».
« L’information n’appartient plus seulement aux journalistes » (Basile Niane, Blogueur)
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Mais quand on évoque la presse, les médias classiques ne sont plus les seuls concernés. En effet la radio, la télévision et la presse écrite sont fortement concurrencés par les médias sociaux. Désormais, Facebook, Twitter, WhatsApp sont autant d’autoroutes où l’information circule. Mais si les médias sociaux confortent la liberté de la presse, ils ont aussi un potentiel de nuisance.
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[…] Permettez-moi, Excellence Monsieur le président de la République, cette initiative solitaire pour m’adresser à vous sur la préoccupante situation de la presse. Si j’ai opté pour ce moyen de communication, c’est parce que malgré tout ce qui a été fait par la CAP, je ne vois pas encore de solutions à l’horizon. Pire, aussi bien dans le gouvernement que votre entourage qui regorge beaucoup de journalistes et d’hommes de médias, il n’y a aucune initiative. Or, ils sont bien au fait de la situation de “putréfaction” du secteur. […]